Jugés pour atteintes sexuelles sur une mineure de moins de 15 ans, deux hommes de 28 et 20 ans ont été relaxés par la cour d’appel de Metz. Une décision qui intervient alors que l’Assemblée nationale vient de voter l’instauration d’un seuil de non-consentement à 15 ans.
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« Cette décision prouve qu'avant 15 ans, il peut y avoir un consentement, commente Me Hélène Lecat, qui défendait le père de famille presque trentenaire. Les jeunes d'aujourd'hui ne sont pas ceux d'hier. Et, sur les réseaux sociaux, ils expérimentent tout, bien plus tôt. A 14 ans, on peut être entreprenante, précoce, mature. C'est pourquoi fixer un seuil reste très compliqué et qu'il faut étudier chaque cas. »